Brossac
Brossac | |||||
L'étang Vallier. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 4B Sud-Charente | ||||
Maire Mandat |
Didier Maudet 2020-2026 |
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Code postal | 16480 | ||||
Code commune | 16066 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brossacais | ||||
Population municipale |
457 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 19′ 56″ nord, 0° 02′ 36″ ouest | ||||
Altitude | Min. 75 m Max. 184 m |
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Superficie | 21,84 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Charente-Sud | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.brossac.fr | ||||
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Brossac est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés les Brossacais et les Brossacaises[1].
Géographie
Localisation et accès
Situé à la lisière nord-est de la forêt de la Double saintongeaise et dans le Sud-Charente, Brossac, chef-lieu de canton, est situé sur la D 731, axe routier sud-est nord-ouest entre Chalais et Cognac par Barbezieux, ancienne voie de passage de l'époque romaine entre Saintes et Périgueux.
Brossac est à 9 km au nord-ouest de Chalais et 18 km au sud-est de Barbezieux.
Elle est aussi à 16 km de Montmoreau, 17 km de Montguyon et de Blanzac, 39 km d'Angoulême, 69 km de Bordeaux[2].
D'autres routes départementales de moindre importance passent dans la commune, comme la D 7 en direction d'Angoulême au nord et Montguyon au sud, et la D 2 qui passent au bourg, la D 70 vers Châtignac, la D 191 vers Saint-Vallier, la D 195 dans la vallée du Palais, la D 68 qui fait la limite ouest[3].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
Hormis le bourg de taille assez compacte, l'habitat est très dispersé en de petites fermes et lieux-dits : la Croix Blanche, Maine Robine, Maine Bernard, la Coue d'Auzenat, la Comté, chez Rabanier, la Gare, la Côte, etc.[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est partagée entre les coteaux calcaires crayeux du Campanien (Crétacé supérieur) sur sa moitié nord-est, bourg compris, et les terrains composés de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôts datant du Tertiaire, de la forêt de la Double saintongeaise pour sa moitié sud-ouest[4],[5],[6].
Le relief est sous forme de collines aux flancs assez marqués. Une cuesta faisant face au nord-est marque la limite entre la partie boisée du sud-ouest et la Champagne calcaire du nord-est. Les altitudes varient entre 75 m au bord du Palais en limite sud (la tête de la vallée de la Viveronne est aussi à cette altitude), et à 184 m sur une crête calcaire au nord, en limite avec la commune de Châtignac; mais la butte du château d'eau situé près du bourg est à 183 m d'altitude (ancien moulin à vent).
Le bourg de Brossac, à flanc de cuesta, s'étage entre 125 et 160 m d'altitude[3].
Hydrographie
Le Palais prend sa source près de la limite nord de la commune, à la Font Lafaye. Il arrose l'ouest de la commune et coule vers le sud-ouest. C'est un affluent du Lary et sous-affluent de l’Isle.
La Viveronne prend aussi sa source sur la commune, à La Coue d'Auzenat. Elle coule vers le sud-est et rejoint la Tude, affluent de la Dronne, à Chalais.
Au sud de la commune naît aussi la Poussonne, autre affluent du Palais qui se dirige vers le sud.
La commune de Brossac est majoritairement dans le bassin de la Gironde, et la ligne de partage des eaux avec celui de la Charente passe à l'extrême nord de la commune, chez Rabanier. La Maury, naissant à Châtignac, y limite la commune. La Maury est un affluent du Né et sous-affluent de la Charente.
De par sa nature argileuse, la partie sud-ouest de la commune est occupée par de nombreuses retenues d'eau, dont l'étang Vallier situé sur un affluent du Palais qui naît au pied du bourg[3].
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Brossac est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,1 %), forêts (30,8 %), zones agricoles hétérogènes (27,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), zones urbanisées (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), prairies (0,5 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes sont Brozac en 1143, Brocciaco et Broziaco en 1278[14], Brociaco, Brocac en 1109-1121[15].
L'origine du nom de Brossac remonterait à un nom de personnage gallo-romain Broccius (de racine gauloise brocco-', signifiant blaireau) auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Broccius »[16],[17].
Histoire
Lieu de passage déjà existant à l'époque romaine (variante de la voie Saintes-Périgueux-Cahors), on peut trouver les ruines d'une ancienne villa gallo-romaine à Lacou-Dausena, à 300 mètres au nord de la voie supposée. Une portion d'aqueduc descendant de la source des Fontenelles et alimentant cette villa a aussi été retrouvée[18],[19].
Les plus anciens registres de l'état civil remontent à 1620.
Au Moyen Âge, la plus grande partie de cette paroisse de Saintonge formait une seigneurie appartenant à l'évêque de Saintes, auquel devaient hommage lige les possesseurs des fiefs voisins : Durfort et La Cour, dans la paroisse, et des parties des paroisses de Passirac pour le Châtelard, et Bardenac et Saint-Vallier pour Coyron, ces derniers fiefs étant aussi réclamés par le marquis de Barbezieux[Note 2].
Le fief de Durfort, possédé par les Vigier, est passé en 1725 à la famille de Lafaye, et le fief a pris ce nom. Le Bourgoin, au nord de la commune, était aussi possédé par cette dernière famille. À la Révolution, Pierre de Lafaye du Bourgoin était avocat au parlement de Bordeaux et juge sénéchal de Brossac[19].
Lors de la première moitié du XXe siècle, Brossac était aussi desservi par la ligne à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes entre Barbezieux et Chalais, et possédait une petite gare le long de la route nationale, actuellement D.731.
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 457 habitants[Note 3], en évolution de −9,15 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 235 hommes pour 240 femmes, soit un taux de 50,53 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27].
Tourisme
Dans les années 1980, la municipalité souhaite développer le tourisme sur la commune et construit un village de vacances dans la pinède au sud de l'étang Vallier. Basé sur la location saisonnière, il fera venir de nombreux touristes, essentiellement pendant l'été, notamment du nord de l'Europe (hollandais, belges, allemands, anglais), malgré ses coûts d'entretien importants pour la commune.
À la même période, de l'autre côté de l'étang, ouvre le camping municipal Les Châtaigners de Brossac. L'étang Vallier devient alors un espace de loisirs prisé par les vacanciers et les habitants de la région. La présence d'une ferme équestre à proximité complétera encore l'offre touristique.
Au début des années 1990, le village de vacances est devenu une charge pour la municipalité. Les constructions sont vieillissantes et les touristes se font plus rares. Le site est alors vendu à un entrepreneur belge qui mettra en place un autre modèle de développement[28]. Les maisons de vacances ne sont plus seulement proposées à la location mais sont vendues comme résidences secondaires. Une centaine de nouvelles maisons de vacances sont construites, y compris de l'autre côté de l'étang Vallier. Un spa, sauna et minigolf sont également construits. Le village de vacances devient Etang Vallier Resort, et le restaurant, anciennement le Clapotis devient Quai sud[29]. En été, la population sur le site monterait jusqu'à 6 000 résidents[28].
L'emprise spatiale du village de vacances dépasse actuellement celle du centre villageois.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Brossac, Oriolles et Passirac. Brossac accueille l'école maternelle Alfred-de-Vigny et l'école élémentaire Honoré-de-Balzac. Les écoles d'Oriolles et de Passirac sont aussi des écoles élémentaires.
Le secteur du collège est Chalais[30]. Les lycées sont à Barbezieux et Angoulême.
Sports et activités
Autres services
En tant que chef-lieu de canton, Brossac possède une gendarmerie.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
Église Notre-Dame
L'église paroissiale Notre-Dame de Brossac date du XIIe siècle. Initialement dans le diocèse de Saintes, elle fut unie à la mense épiscopale. En forme de croix latine, sa nef fut revoûtée en croisée d'ogives au XVe siècle; la façade fut remaniée à cette époque. Le clocher carré et l'absidiole du latéral nord ont été refaits du XIXe siècle[31]. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1985[32].
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La façade de l'église.
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Le chevet de l'église.
Patrimoine civil
Villa gallo-romaine
La villa gallo-romaine de la Coue d'Auzenat, ou Lacou-Dausena (vestiges) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1875[33].
L'aqueduc alimentant la villa (vestiges) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1889[34].
Château de Brossac
Les fonctions de défense de ce lieu remontent à des sources écrites au début du Moyen Âge. Le château avait pour but de contrôler les fiefs locaux ainsi que l’ancienne route gallo-romaine Saintes - Périgueux - Cahors.
Depuis la fin du Moyen Âge, le terrain et le parc du château en tant que fief Dufort appartenaient à la famille Vigier de La Cour.
Par la suite, en 1725, le terrain et le château devinrent la possession de la famille de Lafaye. Du nom de ce lieu, cette famille a commencé à utiliser le surnom de Bourgoin. En 1874, Pierre-François de Lafaye du Bourgoin reconstruit le château en petit palais de style Napoléon III.
En 1940-1944, le château a été kommandantur pendant l'occupation allemande.
Dans les années 1990, il devient une discothèque, le « Paradise »[35].
Étang Vallier
L'étang Vallier, à la lisière de la Double saintongeaise, offre une baignade en été et un village de vacances.
Personnalités liées à la commune
- Louis Hourticq (1875-1944), historien d'art, auteur notamment de La Vie des Images (1927), membre de l'Institut, inspecteur général de l'enseignement artistique, né à Brossac, petit-fils de Jean Étourneau, premier instituteur de Brossac, fils de Pauline Étourneau et d'André Hourticq, gendarme à Brossac[36]
- Émile Grégoire (1871-1948), sculpteur français né à Brossac[37],[38].
- Jean Hourticq (1873-1958), frère aîné de Louis Hourticq, né à Brossac, agrégé de philosophie, élève d'Émile Durkheim, auteur de Leçons de logique et de morale, directeur de l'enseignement primaire d'Alsace-Moselle puis inspecteur général de l'enseignement primaire[39],[36],[40].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Voir aussi l'histoire de Bardenac.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
- Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 141,187,198
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 119.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 74
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 100-101
- http://brossac.blogs.charentelibre.fr/archive/2014/04/06/brossac-didier-maudet-nouveau-maire-de-brossac-182623.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brossac (16066) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Pascal Huord, « Brossac : Gérard Corluy ne rêve plus du village de vacances », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
- « Etang Vallier Resort », sur etangvallier.com (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 91
- « Église Notre-Dame », notice no PA00104264, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Villa gallo-romaine », notice no PA00104265, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Aqueduc », notice no PA00104263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Pascal Huord, « Brossac, un tourisme qui donne un nouveau souffle », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
- Guy Caplat, L'inspection générale de l'Instruction publique au 20ème siècle, Paris, INRP, , p. 331-333
- « Émile Grégoire », sur artprice.com, (consulté le )
- « Sculpture au cimetière de Guizengeard », notice no IA16008778, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Nouveau Dictionnaire de Biographie Alsacienne volume 17, p. 1676-77
- « Jean Hourticq (1873-1958) », sur data.bnf.fr, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Catillus Carol, « Brossac », (consulté le )